Ici, ce poisson est cabillaud alors que d’ailleurs il s’exprime en morue. A cet endroit est le bard, pourtant le même dans d’autres filets devient loup.
Rien à voir avec ces prétendus loubards débordants des cités d’île de France pour inonder les terres provinciales.
A moins d’être parfaitement aveugle, il n’est pas besoin d’être clerc de notaire pour s’apercevoir que beaucoup sont pareils même vivant à d’autres lieux.
Vouloir imposer son vernis à une chose commune est certainement ce qui est le plus détestable dans nos sociétés.
Mais chacun tient à sa notion de base comme la seule spécificité à faire valoir.
Sont nés les identitaires voulant sectoriser le genre très humain pour y imposer ses frontières infranchissables de leur genre.
Ainsi, ils se comportent comme d’autres, peureux d’être emportés par une vague collective venue des courants migratoires.
Chacun dans son groupe réfractaire à l’autre par essence différent et ne pouvant se considérer société solidaire avec celui d’en face qui aurait la prétention de faire paraître une autre vérité du Moi.
L’homme blanc n’est que blanc parce qu’il a vécu sous des ondes de chez lui comme l’homme noir l’est de ses propres bases.
Mais il en existe bien d’autres comme de teinte jaune ou supportant toutes les nuances du spectre d’une couleur plus ou moins passée sous les fourches caudines d’un ensoleillement différent.
Ces sectaires voudraient que chaque groupe se réunisse afin de devenir minoritaire dans une République qui ne fonctionne que sur l’acceptation de la majorité.
Par ailleurs, dans quel groupe, sans vouloir être caricatural, se placerait l’handicapée femme dans sa tête née homme ayant un faciès de sang mélangé et se déclarant lesbienne ?
L’on peut décliné ainsi à l’envi les différentes combinaisons que la société nous réserve dans un espace où les frontières ne sont même pas égale à la ligne Maginot de nos pères ou du mur de Berlin.