Encore une fois, c’est un(e) français(e), ou une personne vivant sur le sol français, qui a gagné le gros lot de l’Euro Million.
Moi, je n’ai pas.
Encore une fois ce n’est pas moi.
Pourtant, je savais bien ce que j’en ferais d’une telle somme.
Tout d’abord, je prendrais un gros portefeuille pour la faire complètement entrée ne toute sécurité.
Car déjà, avant même d’encaisser des problèmes surgissent, des problèmes de riche, des problèmes de nouveau riche.
Ainsi, avant de toucher, il faut tout de suite savoir si la totalité du don du veau d’or doit rester dans l’escarcelle de l’élu(e).
Car, s’il lui vient à l’esprit, d’un moment de bonne folie, de vraiment partager dans la pratique, il lui faudra le faire en amont de toute réception.
Sinon, gare à la pieuvre vautour qui veut que soit imposable toute somme reçue par et pour quiconque.
Et des petits lutins mal intentionnés veillent au grain pour porter la gabelle au meunier dans sa tour d’ivoire.
Aussi, faut-il tout d’abord penser partage.
Sans doute familial en premier lieu pour sauvegarder les gens de son premier cercle vital.
Puis, peut-être les ami(e)s voire copains-ines pour n’oublier personne.
Mais, si la somme est vraiment substantielle sera-t-il prudent de d’accumuler au-delà d’un raisonnable qui reste à calculer.
Car, enfin, se précipiter pour s’acheter ce qui ne sera plus un rêve risque fort de ne plus faire rêver.
Et avoir tout plein d’ami(e)s nouveaux-velles peut être stressant dans le temps « ma cagnotte, ma cagnotte ».
Mais, en conséquence, partage en amont il faudra donner.
Quel montant répartir sachant déjà qu’un certain est conservé pour satisfaire soi-même.
S’il s(agit d’une volonté de rentes jusqu’à la fin de soi-même, de combien doit-elle être.
Le savoir au préalable est indispensable.
Ami(e) chargé de fortune aide-moi.