Savez-vous que lorsque vous adressez un courriel, selon les circonstances, celui-ci fait le tour du monde des fibres et ondes avant d’être déposé dans la boîte de votre voisin de palier ? Surprenant, non, surtout lorsque l’on en prend conscience.
Et toute cette énergie dépensé en C02 pour gérer les milliards de message en archives des poubelles que l’on oubli de vider (quasi) définitivement.
Curieusement, peu de personne ne parle pour nous enseigner les règles de cette technologie somme toute assez récente pour nous qui utilisions encore hier le vieux Bic de toutes les couleurs.
Mais, aussi fort et pénible, est l’exportation de produits qui vont vers des pays lointains pour nous revenir en boomerang en produits que nous n’avons pas fini d’acheter.
Il en est ainsi du lin, pour lequel nous sommes les premiers producteurs mondiaux, du bois de chêne, et aussi d’autres espèces, achetés à prix d’or, ici, pour nous être retournés à petits prix laminés sous nos pieds.
Et, il y a de fortes chances que le paquet de chips ouvert pour votre apéro ou pic nique aient été réalisées par d’autres étrangers avec de bonnes vieilles patates françaises.
C’est cela que nos industriels appellent le circuit court.
L’on comprend mieux la problématique du dernier kilomètre.
Mais, ne vous inquiétez pas, la parade est toute trouvée.
Il vous sera demandé de faire vos propres économies d’énergie à vous, dans votre foyer, parfois si mal chauffé.
Pourtant, des solutions existent.
Mais il faut une vraie volonté politique de faire si l’on veut arriver à ce que demande le Gierc.
Arrêter la surconsommation de Co2 d’ici trois ans pour un arrêt total en 2050.
Sinon, on explose tous avec, on s’en doute sans que ce soit écrit, de grands mouvements de populations allant chercher ailleurs l’herbe qu’elles ne trouvent plus chez elles.