Il lui a fallu longtemps pour reconnaître ses torts dans ce qui ne cesse de se passer lorsque les forces de l’ordre doivent s’organiser pour tenir leur rôle sans être soupçonnées de mettre le bazar dans les rues.
C’est leur chef, et, malgré la non visualisation des vidéos heureusement jetées aux oubliettes, l’homme redevenu ministre s’est senti obligé de dire que si il a mal agit s’était vis-à-vis de la délinquance.
Attendons de voir ce qu’il aura retenu comme leçon.
Mais, un espoir pour les manifestants devant la hausse forte du gaz qu’il faut désormais économiser.
Les patrons sont au grand désespoir.
Avant, ils désespéraient de ne point être aimés.
Mais c’était largement compensé par le fric gagné sur leurs petites mains.
Aujourd’hui, cela devient impossible d’embaucher des êtres serviles car ils ont disparu des radars.
Désormais, ils doivent faire face à des personnes qui entendent gérer au mieux leur moi, seule entreprise qui vaille à leurs yeux.
Et encore, quand ils décrochent le gros lot, ils doivent s’en satisfaire tant ces gens la ne tendent plus la main que pour toucher le grisbi.
Il manquerait au niveau national quelques 220 000 volontaires pour les travaux forcés dans l’hôtellerie-restauration dont plus de 40 000 dans la seule capitale où il fait si bon vivre.
Mais, un détail chiffonne.
Si ces bons gentils patrons soucieux des salariés qu’ils n’ont pas, sont aussi prévenants comment se fait-il que l’un des arguments pour ne pas s’éloigner travailler soit le coût du pétrole ? Les augmentations salariales et autres super grands avantages sociaux accordés charitablement n’en tiendraient pas compte ? Tenez, cela fait penser, alors savoir pourquoi, à cette nouvelle tombée récemment, là tout de suite.
Un salarié s’est vu viré, tenez vous bien, 256 fois son salaire annuel.
Son patron le contacte.
Le salarié dit qu’il remboursera avant de prendre la poudre d’escampette.
Où va-t-on si même les petites mains profitent du système qui n’est pas fait pour eux ?