Mais, la lutte contre le réchauffement climatique est de mode.
En effet, outre que le terme fait plus guerrier et valorise l’ego de chacun, il est beaucoup plus perceptible.
Très franchement, comment la France peut-elle à elle seule, même accompagnée de quelques pays épars, empêcher le réchauffement planétaire ? Ce d’autant plus que les deux plus grands pollueurs décident d’arrêter leur combat commun contre ce cataclysme humanitaire.
Aussi, s’activer pour perdre quelques degrés en température de fortes chaleurs fait beaucoup plus pratique.
Cela est dans les paroles, mais les actes sont a priori très chers dans leur rareté.
Il faut végétaliser les espaces urbains ? Soit, alors pour quelles raisons, sur une place nouvellement créée dans ma ville, il n’y a pas d’arbre planté ? La partie bitumée est pratiquement équivalent à celle réservée aux écorces pour faire genre ?
Toutes les demandes d’installation de panneaux solaires sur les toits du centre-ville sont refusées au prétexte d’être une ville d’Art et d’histoire.
Mais, au niveau nationale, la bonne nouvelle vient du fait de l’intention de favoriser la peinture en blanc sur les toits.
Les nouvelles constructions n’en ont jamais entendu parler.
Pourtant, ce serait un bon système pour repousser, un peu, la chaleur des rayons du soleil.
Sans pour autant trop savoir où ils s’en vont.
On doute fort qu’ils se contentent de mourir à petit feu.
Et, d’ailleurs, qu’en est-il des effets en hiver où la moindre source de chaleur naturelle est recherchée ? Mais, plus prosaïquement, la question repose sur les véhicules électriques.
Certes, elles ne sont pas la panacée des verts, mais pour l’urgence, elles semblent bien utiles.
Pour autant, pas moyen de trouver un véhicule correct à moins de 30 000€ après la prime de 6 000€ qui sera bientôt réduite.
Et, encore, ne faut-il pas compter dessus pour les grands trajets.
Franchement, qui a intérêt, à part la frime du plaisir bien égoïste, de rouler dans ces trésors pour leur quotidien ?