Décidément, la situation des migrants sert très bien les positions de la droite entière, tiède (?), dure et extrême.
En effet, devant la provocation du tyran totalitaire de l’Est, son voisin pour se protéger veut ériger un mur – la France va encore manquer de bras pour son bâtiment.
Et les migrants sont heureux de savoir qu’ils vont pouvoir retourner vers le pays qu’ils ont fui de peur d’y mourir de faim, de mal économie, d’absence de liberté ou de guerre.
Le dictateur qui les a fait venir est décidé à les faire (re)partir.
Ce louche individu, qui en plus de prendre des être humains pour du bétail, doit se prendre pour le maître de l’Univers en organisant à loisir le jeu des grandes marées maritimes.
Or, il fût un temps où les gens de bonne raison espéraient la disparition des frontières pour tenter faire un ensemble qui veuillent bien vivre ensemble en bonne société avec leurs différences, leurs coutumes et usages.
C’est vraiment (re)mal parti.
Et, certes dans un vrai pays totalitaire, désormais ceux qui refusent de se faire vacciner se verront refuser leur demande d’hospitalisation consécutive au Covid.
Et la frontière du totalitarisme risque de se briser sur les velléités d’une population penchant de plus en plus vers l’extrême droite.
Ainsi, l’idée pourrait être étendue aux fumeurs qui ne s’arrêtent pas d’enfumer, aux alcooliques incapables de rester discrets, aux gros obèses s’ils ont un cancer mal dans leur peau.
Vive le totalitaire, vive le sanitaire.
A bas la liberté d’être.
Il faut être dans le bon camp pour exister.
Comme ces gens qui ne peuvent plus faire leurs démarches administratives.
En effet, désormais, pratiquement tout doit se faire via internet et cela s’accélère au même rythme que la fermeture des guichets dans les lieux publics et administratifs, voire privés lorsqu’ils s’agit de sa propre santé.
