Il est certain que les citadins doivent être sécurisés.
Il est évident que les forces de l’ordre ne doivent pas être agressés.
Et, s’ils le sont, ils doivent pouvoir se défendre en conséquence.
La légitime défense est alors de mise.
Mais, force est de constater que depuis deux trois ans, les tirs des forces de l’ordre arrivent droit au but sans sommation.
Mais, bizarrement, ces actes sont de plus en plus fréquents depuis qu’un certain ministre de l’intérieur a fait comprendre qu’il soutiendrait les siens quoi qu’il en coûte.
Il n’est évidemment pas question de faire en sorte que les forces soient maltraitées, voire mitraillés à tout va.
Mais, également, il ne peut être question que des citoyens puissent se faire descendre pour un simple contrôle même s’ils paniquent.
Il est également évident que les forces de l’ordre sont harassés.
Et, malheureusement, dans ce pays, les fonctions vitales sont les plus mal lotis ( hôpital, pompiers, forces de l’ordre, etc.).
A quand une vraie reprise en mains pour ne pas finir comme en Outre Atlantique où seuls comptent les services privés à fort coût ?
De même comment comprendre, par exemple à l’éducation nationale, que les maîtres, profs soient affectés dans les zones dites sensibles alors qu’ils n’ont pas encore l’expérience indispensable ?
C’est vrai, c’est très malin, ce nouveau machin truc pour aller voir ce qu’il se passe dans les hôpitaux, notamment les urgences.
Nommé son médecin référent, fait preuve que le réélu veut pourvoir s’appuyer sur quelqu’un de confiance.
Et, le fait que ce patricien, visiblement très libéral, ne pratique jamais dans les urgences, prouve parfaitement le besoin d’un rapport complètement objectif au risque d’être totalement hors sol.
C’est malin, il fallait y penser d’écarter le problème au-delà des législatives.
En attendant, la réception des nouveaux patients est écartée ou alors ces derniers sont en couloirs d’attente.