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Carte verte internationale

Il est certain que vous alors encore rouspéter après votre assureur.

En effet, si les motifs peuvent être nombreux surtout en cas de sinistre, une mauvaise nouvelle se cumule toujours sur la dernière.

Cette fois-ci, c’est de trop.

Votre assureur exagère.

Son augmentation, il peut se la conserver.

Vite allons voir si les tarifs sont plus sympas ailleurs.

Adieu veau, vache, cochon et carte verte.

L’administration se plie en deux, l’économie et l’intérieur, pour nous débarrasser de ce bout de papier vert qui embarrasse encore nos gentils petits pare-brise comme il seront beaux sans.

Fini, le regard pointu du policière, de la gendarmette.

Plus jamais, la pupille se délattera de voir un soupçon de non assurance.

Mais, attention, si elle disparaît, ne disparaîtra pas avec elle l’obligation de s’assurer.

Tout de même, c’est comme pour la ceinture, mais en plus éloigné, combien d’entre nous avons râlé de cette fichue obligation de coller ce qu’ils ont fini d’appeler vignette, au côté droit du pare-brise.

Avec l’on pouvait rouler à la condition qu’en supplément, le feuillet vert principal puisse être immédiatement présenté en cas de contrôle avisé.

C’est sa couleur qui a permis de la nommer Carte verte.

Alors que les services concernés l’appellent de son vrai nom Carte Internationale.

Et, elle vaut garantie assurance contrairement à ladite vignette valant présomption d’assurances.

C’est-à-dire que dalle sans son principal (cf ci-dessus).

Pourquoi sa disparition ? Parce que les assureurs, ces petits malins, ont constitués une base de données globale de toutes les voitures assurées, sans notre permission – la base pas l’assurance.

Ainsi, d’un coup de frappe sur un support quelconque branché, le ou la de la force de l’ordre pourra tout savoir sur votre bon comportement d’assuré ou non.

Cela va faire des économies.

Gageons, que cela ne fera pas baisser en conséquence les lourds tarifs appliqués.

Alors, vivement la prochaine qui ne sera pas empêchée.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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