Tout pour consommer

Ce grand de la (sur)consommation exagère vraiment dans ses pubs.

D’une il dénonce les tonnes de papiers disparus dans la nature sans être lus par quiconque.

Or, hier, il justifiait ses distributions postales, sans nécessairement utiliser les services publics, par le besoin indispensable de sa clientèle d’être justement informée.

Désormais, demain, juste avant la rentrée scolaire, il va se dispenser d’inonder nos boîtes aux lettres.

Par contre, le tsunami va arriver par courriels voire Sms.

Il s’agit d’une autre pollution, mais il ne faut pas le dire car cela leur ferait vraiment trop de mal.

Dans une autre, ce géant dit que « tous les produits scolaires sont à un prix…» de chez eux.

Or, n’importe qui va ailleurs peut constater que ce n’est pas du tout exact.

Et cette autre pub de communication à distance de dire qu’« un service qui ne rend pas service, n’est pas un service » a bien raison.

Mais, pour sa démonstration, la trace d’un gâteau où il est juste indiqué Bon ; est-ce bien la quelconque démonstration d’un éventuel début de service ? A moins, que l’histoire doit être lu en parallèle de son propre service (d’attente) ?? Des forces nouvelles sont arrivées en région pour remettre de l’ordre oublié vu de la capitale où les membres du gouvernement croient tout savoir.

Pas de chance, à peine arrivée qu’un jeune est parti rejoindre l’enfant, acteur malgré lui de toute cette agitation.

Alors, la question se pose : que faut-il faire face à ces violences entre gangs de bandes rivales trop désireux d’accaparer un territoire sous les ordres de leur propre patron plus vorace encore qu’eux ? Hé, bien mon général, que les politiques se prennent par leur vote pour légaliser les drogues mineures comme cela a été fait Outre Atlantique pour l’alcool.

Bien sûr, cela n’a pas empêché les poivrots d’exister, mais ils ne sont pas plus qu’avant et les riverains y ont gagné en paix.