D’une chronique en première de page d’un de mes nombreux hebdo à lire, fait ressortir une phrase terrible qui en dit long sur la nature de notre vie « Les boulangeries sont des lieux indispensables de sociabilité, comme autrefois les bistrots ».
Vous l’aurez deviné le mot fort est « autrefois ».
L’on peut à l’envi maudire ces politiques qui se sont acharnés ces dernières décennies d’après guerre à mettre en avant leur modèle capitalistique libéral pour faire taire les monopoles nationaux.
Avant cela, ce sont les particularismes régionaux, voire villageois, que les puissants se sont ingéniés à faire disparaître.
Mais, ne nous y trompons pas, si cela est possible c’est parce que la majorité des peuples votant ont décidé de mettre en avant ces personnages.
Il ne suffit pas d’un gilet jaune ou tout autre symbole pour faire un bon électeur.
Aujourd’hui, la seule question qui vaille est de savoir à qui profite le crime de cette hausse insensée de l’énergie électrique alors que sur les marchés son coût à baisser et qu’elle ne vaut pas grand chose à sa création ? Les politiques vont-ils se rendre gorge et revenir sur une formule mathématiques que même un enfant de 4 ans – et pourquoi pas deux ? – aurait compris l’ineptie.
Mais, il est vrai que ces gens la avait eu l’heureuse idée de fabriquer une concurrence déloyale pour mettre à terre ce qui fonctionnait bien.
Et la France, fée électrique a laissé faire… Comme pour la météo, les scientifiques ont tout bon : ils viennent début 2003 de découvrir que 2022 a été l’année la plus chaude depuis que le thermomètre sert à mesurer la température ambiante.
Ni voyez aucun lien de cause à effet, mais ma boîte aux lettres est au bord de la nécessité de faire grève.
Elle a entendu comme tout le monde l’intention de l’essai grande nature d’une tournée 1 fois sur deux jours du facteur.
Et, par dessus le marché un grand de la distribution déclare ne plus voir sortir ses prospectus.
Alors, ma boîte aux lettres sent la voie du chômage à plein nez…