Je n’aurais pas été pour l’obligatoire car en démocratie avec des gens libres de plein droit, c’est l’explication, la persuasion qui doit primer.
Ou alors, en accord avec les représentants du peuple élus rendre obligatoire pour que les choses soient bien claires.
Mais, la rendre obligée sous le manteau en rendant quasi impossible de s’en passer si l’on veut pouvoir vivre en toute liberté démocratique, c’est un déni de justice.
Dans certains pays européens, l’on assiste, devant la panique générale de ceux qui ne sont pas assez vaccinés, à la fermeture des restaurants.
Rassurez-vous, en France, les Resto du cœur continueront à officier.
Cri d’alarme sur les journalistes de mon hebdo que pourtant j’aime bien.
Encore une fois, le marronnier des prix immobiliers en Île de France est sorti pour la région concernée.
Or, une nouvelle fois certains départements, peut-être les plus ruraux, font l’objet tout juste d’entre-lignes et de villes, circonscriptions volontairement omises.
C’est d’autant plus dommage, lorsque l’on sait qu’avec la Covid le besoin de mise au vert se fait ressentir.
Il suffit d’un simple reportage, aussi sérieux et bien fait que possible, pour que la justice lance une procédure à l’encontre de celui qui est la cible des témoignages recueillis.
Mais le débat est lancé entre la priorité faite actuellement au présumé coupable – que veulent absolument voir certaines d’autant plus que généralement il s’agit d’un homme – et la déclarée victime – qu’entendent bien faire terre la doxa habituelle machiste.
Je n’interviendrai pas sur le passé où l’attitude de saigneur du mâle faisant office de maître était resplendissant obligeant la jolie colombe à se taire et surtout subir.
Mais, au jour d’aujourd’hui, n’en déplaise à certain(e)s, cette attitude est parfaitement inadmissible.
Il faut que la société mette en pratique le fait que le corps appartient à l’être et non à l’autre malgré ses pulsions.