On peut imaginer qu’il est impossible de lutter contre une colonne de plusieurs dizaines de kilomètres composés de dizaines, voire de centaines de blindés.
Et pourtant, il possible de ralentir, voire de stopper sa progression.
Un char, un blindé, ça ne vole pas, ça ne nage pas et ça se déplace lentement.
Il faut trouver une solution pour couper la route qu’ils empruntent.
Durant la Seconde Guerre mondiale, en France, le résistant Henri Krasucki avec des camarades de combat, avaient bien compris que pour bloquer ou au moins ralentir l’occupant Nazi, il fallait bloquer les voies de communication. Ce groupe de résistants faisait sauter des ponts.
En Ukraine, face à la longue colonne de blindés de l’armée Russe qui se dirige vers Kiev, il faut soit faire sauter des ponts, s’il y en a sur la route qu’empreinte celle colonne, soit utiliser des missiles antichars Milan livrés par La France en Ukraine pour détruire les blindés en tête de colonne.
Ça bloquera un certain la progression de l’armée ennemie. Le temps que les forces Ukrainiennes s’organisent.
Poutine pensait, probablement, envahir l’Ukraine en quelques jours, sans résistance ou presque. Il ne faut jamais sous-estimer les habitants d’un pays que l’on veut conquérir.
