Les amis écolos vous êtes rigolos. Mais vos élus ne le sont vraiment pas trop.
Pendant qu’ils s’amusent à interdire la viande dans les cantines scolaires sans rien demander à ceux qui avaient voté contre eux.
Pendant qu’ils s’amusent à interdire les sapins de Noël quand ils le peuvent en leur qualité de maire.
Pendant qu’ils s’amusent à interdire le foie gras pour faire symbole quand ils sont au pouvoir abusif dans les capitales du très bon goût.
Pendant qu’ils font croire ce qu’ils sont alors que leur parti représentatif est pris en otage par la minorité des féministes à tuer l’homme.
Pendant tout ce temps-là les vraies choses à détruire la planète se poursuivent puisque les vrais enjeux ne sont pas de mises pour se faire élire.
Nous écolos fous veulent nous mettre à la diète comme l’arrêt du chant du coq en campagne et retirer l’église des centres du village.
Mais pas grand-chose sur les pays qui polluent vraiment la planète à haute dose comme le continent américain y compris la déforestation de la plus grande forêt mondiale.
Comme la Chine qui avancent ses centrales à charbons pour produire a consommation mondiale.
Remarquent-ils sont à bonne école avec les mesures toujours punitives et liberticides prises par le gouvernement pour lutter contre la Covid.
Tenez cette absurdité du port du masque obligatoire en extérieur dans tous les villes et villages sans tenir compte de la densité de population déambulant dans les rues et sur les trottoirs.
Par contre, il est de bon ton d’ouvrir les fenêtres pour virer les particules mauvaises.
Tenez cette absurdité de faire porter obligatoirement ce foutu masque aux enfants dès leur 6 ans.
Les français croient que leur perte de pouvoir d’achat, réelle, est due au passage du franc ancien à l’Euro nouveau.
Outre le fait qu’il y a plus de 10 ans (20 ans exactement) et donc prescription d’effet, les chiffres de calcul à faire sont formels.
Non, à part quelques abus de première semaine par des commerçants indélicats, sur peu de produits, il n’y a pas eu d’augmentation en découlant.
