L’on attend fortement la position des politiques.
Surtout ceux qui ont la prétention d’exercer la fonction suprême pour diriger la Nation et, accessoirement, appuyer sur le bouton du neutron.
La constitution interdit que l’on restreigne les possibilités de faire lors des meetings politiques lors des campagnes électorales.
La question simple est de savoir s’ils vont faire leur l’application des gestes barrières, voire les nouvelles mesures restrictives applicables aux autres événements rassemblant du public.
Mais, ce n’est plus de la responsabilité du gouvernement mais bien de ces politiques.
Attendons pour voir.
Les politiques sont fous.
Tout un baratin sur un drapeau dont on fait une affaire équivalent au voile.
Il a été dit que le drapeau de France a été remplacé par celui de l’UE.
Or, celui français n’est hissé sous l’arche de l’arc que lors des cérémonies.
Or, il n’y en avait pas.
Aucune peur de mentir, le principal est de se faire remarquer, marquer sa place.
On n’en finira pas de rire de la farce qui s’est jouée dans l’hémicycle une nuit d’hiver de début de semaine de nouvelle année, s’il n’en fallait plutôt s’en désespérer jusqu’à en pleurer.
Alors que les débats sur le texte liberticide de pass vaccinal avançaient à pas de sénateurs dans la chambre à coucher des députés, ils ont été interrompus faute de combattants membres de la majorité non présents au moment du vote de la reconduite réclamé par le chef de la santé en personne.
Il est évident qu’il vaut mieux en imputer la responsabilité à l’opposition qui joue la démocratie alors que la majorité l’est bien quant elle le veut.
Mais lorsque la patronne de la droite extrême dit que le gouvernement ne tient pas sa majorité, ce qui est vrai, elle ferait mieux de balayer chez elle.
En effet, elle avait demandé à ses siens de voter fissa en faveur du texte proposé.
Faites ceci mais pas cela, je me charge du reste.