L’automne revient toujours
C’est une arme de guerre massive.
Elle n’est pas autorisée dans les combats entre pays.
Par contre, rien n’interdit de s’en servir lors de manifestations remuantes ou pas ; à la condition, tout de même, qu’elles soient moins chargées dans ce cas ; tout de même… L’on parle ici de ces gaz contenus dans les bombes lacrymogènes ; ce qui expliquait aisément, le holà mis par un assez célèbre animateur radio qui voulait snober le terme gazer pour l’usage de l’envoi sympathique à l’intention fraternelle des manifestants.
Mais, rappelez-vous, seul l’état est en droit d’utiliser la force destructive.
Si vous faites de même, vous serez traité d’extrémiste, voire de terroriste.
Youpi, la période est bonne pour le retour des marronniers.
Avec la grippe faisant semblant de ressembler à la désormais très connue Covid, nous retrouvons, joyeux de l’aubaine revenue, les sachants docteurs qui s’ennuyaient dans les couloirs d’hôpitaux trop désertés à leur goût.
Sinon, le chômage fait son grand retour.
Celui qui avait été élu une première fois sur une grande trahison mais aussi une promesse qui n’avait pas été tenue, semble arriver au même résultat.
Il avait tout d’abord profité des manœuvres de son prédécesseur.
Chance pour lui, les résultats positifs sur la courbe du chômage sont arrivés en début de mandat ; tant pis pour l’autre qui avait pris son temps.
Fort de ce succès en espèce de coucou, il a pensé pouvoir poursuivre en tapant encore plus fort sur les démunis d’emploi afin qu’ils soient à terme démunis tout court.
Mais, comme les vieux, ceux qui résistent à l’emploi existant de l’autre côté de la rue, la réalité fait jour : il y a moins d’emplois à servir que de chercheurs qui ne trouvent pas.
Mais, espoir qui fait vivre, les patrons hurlent à tout va que leurs jobs à 6 sous les 50h ne trouvent pas preneurs chez ceux de France.
Alors le réélu de justesse à faible majorité relative persiste et signe : je fais comme mes prédécesseurs et trois petits tours et puis s’en vont.
