Faut-il vous le dire ?
Vous avez la possibilité de déclarer vos impôts dès le début du milieu de ce mois d’avril.
Et, en règle générale, cela fait comme une arête dans le pharynx en constatant le montant à payer.
Mais, pas de panique, puisque, pour la grande majorité d’entre vous, et tant pis pour les indépendants et autres artisans, dès le début de l’année antérieure, vous avez été ponctionné en douceur à la source de la livraison de votre revenu.
Pour cela, la difficulté du dernier kilomètre n’est pas.
Toutefois, vous pouvez toujours avoir l’angoisse d’une fausse déclaration non volontaire surtout si vous avez la phobie des démarches administratives.
Il n’est pas nécessaire d’aller si loin tant le bon citoyen tient à ce qualificatif.
D’aucuns me feront remarquer que pour le plus grand nombre, c’est facile puisqu’il ne paye pas d’impôts sur le revenu au regard de l’indécence de ce dernier.
Oui, mais, cette situation n’exonère pas de ladite déclaration.
Ceci dit, les choses sont bien faites si vous n’avez qu’un seul et même employeur : il vous suffit juste de constater que votre boîte a bien déclarer vos bons revenus et non ceux de votre collègue.
Car, cela ne vous irait pas du tout tant vous soupçonnez ce dernier d’être favorisé ; l’herbe étant toujours plus verte qu’ailleurs.
La déclaration préremplie est géniale si vous n’avez rien d’autre(s) à remplir.
Mais, si c’est le cas, bonjour la complexité administrative dont les fortes têtes n’arrivent pas à comprendre que tout le monde n’a pas le cerveau aussi tortueux qu’eux ; certains disent « grosses têtes ».
C’est dire qu’une fois avoir signé numériquement votre déclaration par un clic fatal sur le bouton approprié, vous pouvez avoir des doutes sur ce que vous avez laissé passé.
Et c’est là le souci.
Des petits malins fraudeurs risquent fort de vouloir rendre légitime votre angoisse par des messages qui font peur.
La seule solution est de ne pas y répondre surtout s’il vous ait demandé vos codes confidentiels, vos coordonnées bancaires et autre joyeusetés pour vous rendre la vie en enfer.