En Chine, le peuple affamé par les restrictions semblent avoir plus que des velléités de se soulever contre le pouvoir qu’il trouve trop autoritaire.
Trop c’est trop.
Assisterons-nous à la Nouvelle Révolution ? Toujours, est-il que ce gouvernement semble trouver facilement des nervis pour tenter asservir les gens qui pourtant, à la base, sont comme eux.
Ce ne sont plus des forces de l’ordre ou d’armée mais des gens du quotidien qui ont soif de leur pouvoir de désarmer les autres.
Ces chefs de quartier, ces voisins prompts à dénoncer les leurs.
Nous on penserait au temps de Pétain.
Eux n’en reviennent pas d’y être encore.
La délation est la chose la mieux partagée des peuples et la plus encouragée par les hommes de pouvoir.
Mais, ne nous trompons pas, il ne s’agit pas d’une simple lubie, mais c’est la (re)montée des forces obscures dont la noirceur excitent les plus faibles qui se croient ainsi les plus forts.
Regardez ce totalitarisme mensonger (pléonasme) de l’est.
Regardez ces tentatives de retour en arrière en Outre Atlantique.
Certains voudraient profiter de leur pouvoir, malheureusement immense, pour restreindre encore plus la liberté de l’être à disposer de lui-même.
Ils prennent également le chemin de leur croyance contre la connaissance.
Ils veulent supprimer toute possibilité de critique raciale pour que les suprémacistes blancs puissent sévir tranquillement.
Ils veulent brûler les livres, que ne soit plus enseigner les génocides, revisiter la Shoah (une instit de la-bas a même reçu le conseil de sa supérieure d’opposer un livre contradictoire à la vérité de la Shoah).
Au lieu d’une communauté fraternelle s’agrègent des groupuscules imposant leurs lois.
Et, en France, pays démocratique s’il en était, la tendance ne semble pas inverse.
Si, l’on constatait déjà l’existence de ghettos de pauvres opposés aux ghettos de riches, l’on voit le séparatisme des champs contre les villes.
Mais, aussi, géographiquement observé, un séparatisme politique selon les régions où l’on vit.
Tout devient privé, plus de partage, plus de société.