Le journal qui fait écho tient à écouler ses tablettes.
Il relance comme n’importe quel publicitaire avide de marketing son offre : pour tout achat de cet engin, l’abonnement est donné.
Pendant que les miséreux en sont à se demander comment remplir leur réservoir, une petite Porsche d’à peine 400kms compteur se vend deux millions d’euros.
Et qu dit qu’il se plaint du non effet du ruissellement ? L’on n’est jamais mieux servi que par soi-même.
Aussi les deux dirigeants d’une maison de jeunes refusés par leur famille proche, profitaient de la mauvaise aventure vécue pour faire leur marché en intra.
L’on imagine bien les sous-entendu, voire menaces, du genre tu cède où tu vires.
Mais, ce lieu étant le seul où ces jeune en déshérence familiale du fait de leur genre avoué, l’on se doute bien que certains aient accepté sans coup férir l’influence reçue.
Avant, ils ne cessaient de dire que c’était comme cela, que changer n’était pas possible.
Il a fallu une Covid pour que les salariés se disent qu’autrement c’était vivre mieux.
Et bien, tout d’un coup un seul, les patrons disent que tout est possible.
Et que l’aménagement des horaires, des conditions de travail à l’avantage des salariés étaient bien au contraire tout à fait possible.
Et l’on dit que la France est de droite… Donnez la possibilité de changer de nom au profit de celui du père, de la mère ou des deux est une bonne chose.
Cela permettra l’ironie de l’histoire de porter le patronyme de celui ou celle qui vous a abandonné.
Mais qu’en est-il de la personne laissée à l’assistance publique ? Doit-il encore, comme toujours, continuer à porter cette tâche ? Car savez-vous que lorsque vous êtes dans cet établissement, les orphelins sont ailleurs, c’est que géniteur et génitrice se sont unis pour le pire.