L’idée géniale de nos politiques est de nous rappeler qu’il faut fermer portes et fenêtres lorsqu’il fait froid.
Ainsi vous évites les déperditions énergétiques.
Mais pensez à bien aérer pour chasser le virus de toute sorte voulant jouer au coucou.
Or, ce jour-ci de ce mois-ci, nous avons dépassé ce que peut naturellement produire dame Terre.
Autrement parlé, il reste 5 mois et demi pour nous nourrir avec rien sauf sur trop de réserves faites épuisant la belle qui vieillie trop.
Que se passera-t-il lorsque nous atteindront le nombre de 7 milliards d’habitants voulant manger et un peu plus que nécessaire ? Or, le constat est que l’alimentation et la déforestation sont les deux mamelles du mal être terrien.
Peuple des pays industrialisés civilisés, vous mangez trop de viandes à produire des céréales pour faire pousser les animaux à déguster ou jeter… Or, ces céréales seraient très bonnes pour solutionner la famine des pays qui ont faim.
Allez une côte rôtie de moins pour plein de sourires rassasiés, cela vous dit ? Et, si l’on produit moins de soja pour nourrir ces fameuses bêtes à canon, nous aurions gagné 30 % de déforestation en moins.
Alors, on s’y met à l’arrêt de travail des coupeurs d’arbres ? Mangez moitié moins de viande pour une de plus de qualité.
Soit, mais que fait-on de ceux qui travaillent à trop de surconsommations ? Le cercle vertueux serait que les entreprises acceptent de produire du bon avec des salariés correctement payés sans écart foudroyant de salaire/revenus avec de bonnes perspectives d’évolutions.
Ce n’est tout de même pas difficile à comprendre, non ? Et tout le reste ira pour le mieux dans le meilleur des mondes car tout le monde sera heureux.
Alors qu’est- que l’on attend pour l’être ? Allez un petit café des producteurs du coin, et juré promis on s’y met.
