Il s’en passe des choses étranges.
Le chômage baisse encore de 7,6 %.
Ce serait une vraie bonne nouvelle s’il ne restait que 4 millions d’individus à Pôle Emploi.
Ce serait une vraie bonne nouvelle si les plus de cinquante ans n’étaient pas rangés dans le panier à linge sale.
Évidemment, l’un de principaux apports est le boom de l’apprentissage qui permet, désormais, à toute entreprise de former elle-même les salariés dont elle aura besoin dans un proche avenir.
Tant mieux pour tous ces jeunes qui n’auront pas à souffrir ce qu’ont pu vivre leurs parents.
Mais, le risque n’est-il pas d’une formation trop pointue empêchant une reconversion lorsque la technique sera autre ? Surtout, étant donné les aides et primes reçues, versées par les régions et état, ne constituent-elles pas un effet d’aubaine ?
Ne pourraient-elles pas concerner une partie de la formation professionnelle permanente pour éviter que tout salarié désireux de continuer puisse le faire dans de bonnes conditions ?
En attendant, l’illuminé non candidat à cette heure peur faire valoir ce bon résultat sans trop fouiller dans les tiroirs.
Ceci dit, le fait que le droit de veto retiré au collectivité sur les centres d’apprentissages semble être un bon exemple de la difficulté de laisser maître des barons régionaux trop souvent occupés à leurs intérêts territoriaux au lieu de penser nation.
Il faut toujours faire attention aux politiques qui ont tendance à vouloir faire comme les nouveaux véhicules une politique de conduite niveau 3 voire 5 pour ne pas laisser la possibilité d’une quelconque cogitation dangereuse.
Toutefois, il faut bien le dire, le fait que les instances onusiennes se posent l’interdiction d’utiliser des drones ou robots tueurs en cas de conflit prouvent que tout n’est pas perdu.
Sauf, bien entendu, si la pression du totalitarisme pour bons sentiments est trop forte/%ais c’est à nous d’y veiller.
