A la force de ne pas vouloir débattre, certains forcent le trait pour que la minorité se fasse entendre.
Bien entendu, pour cela deux choses sont utiles.
Que ladite minorité veuille se faire entendre et qu’il existe en-tête un individu en mal de notoriété.
Quoique plusieurs permettent déjà un bruit de fond assourdissant.
Et, sans doute, que vouloir faire ressortir toutes les minorités fera-t-il émerger une majorité.
Encore faudra-t-il que celle-ci arrive à composer avec tous les courant risquant la submerger pour ne plus se faire entendre.
Un dictionnaire connu de ceux qui veulent apprendre le beau français ont eu la langue bien pendue de voir la possibilité d’un « IEL » en pronom personnel.
Il y avait déjà IL et ELLE qui parfois avaient du mal à coexister.
On ne sait pas trop où situer ce nouveau venu.
A droite, au milieu ou à gauche des deux premiers ? Et puis quelle conjugaison apporter ? Est-ce lui, pour ce pronom et non pour la personne représentée, qui remplacera le neutre accordé au masculin ? Cela arrangeait bien le féminin de réduire le masculin à une non représentation singulière.
Devra-t-elle désormais s’en passer et reconnaître à Lui la même capacité de distinction que Elle ? Mais, est-ce un réel neutre alors qu’en débattre chauffe grand nombre.
2025, ça vous dit quelque chose ? C’est l’année couperet pour la circulation des véhicules considérés à haute émission polluante dans 45 villes de plus de 150 000 habitants.
Vous direz que cela existe déjà pour les diesels notamment dans ce qui est le Grand Paris.
Mais, les radars capables de détecter automatiquement par caméra les mauvaises immatriculations ou lecture des vignettes Crit’air ne sont pas encore de sortie.
Sinon, fini une certaine liberté, vive la contrainte du PV.
Pv qui peut-être à répétition puisque, parfois, effectués par des sociétés privées qui se contre fichent du pluriel sur le même trajet de la même journée.