D’un livre traitant de l’inceste mais ayant eu le malheur de sortir en même temps d’une plus connue, l’on apprend néanmoins un secret que certaines féministes voudraient bien cacher.
Bien entendu, dans ces deux livres il y a l’horreur de ces hommes se croyant malins d’exercer leur pouvoir pour satisfaire leur plus bas instinct.
Qui plus est sur des être frêles, trop jeunes pour se défendre efficacement.
Toutefois, et c’est nouveau de manière écrite, la petite de 13 ans avait eu l’esprit d’en faire part à sa mère.
Mais, autant l’homme fait le fier à l’extérieur du ménage, autant la femme, généralement mère, mais ce peut-être la grand-mère, exerce avec appétit son matriarcat en intérieur de la maisonnée.
Et comme il faut bien tenir son standing, d’autant plus que la famille est issue d’une grande bourgeoisie, en déclin certes, mais toujours avec de beaux restes, il faut bien ne pas donner langue qu trop fameux qu’en dira-t-on.
Pourtant, en interne, la Reine mère aurait pu dire son compte au masculin responsable.
Mais non, pas question de toucher le fiston idole et futur héritier de la lignée.
Alors, la petite est culpabilisée de l’avoir fait exprès, voire provoquer l’autre plus grand certes physiquement mais pas dans sa tête.
Les deux livres dont il est question laissent paraître une réalité journalistique trop pris dans le tourbillon du besoin du plus grand nombre.
C’est celui qui est censé avoir plus d’impact financier sur les masses qui est mis en avant.
Et, dans une famille le coupable était un homme de pouvoir trop célèbre pour passer inaperçu.
Alors que dans l’autre, il s’agit d’une famille dont le personnage célèbre était déjà d’un autre temps.
Alors s’il faut choisir, que ce soit au moins rentable.
Mais, il est tout de même bon, que certains articles ressortent même si beaucoup de temps ce sont écoulés.