Comme cet éditorialiste un rien condescendant vis à vis des autres, surtout ceux qui ne pensent pas comme lui.
Certes, il lui est facile de prendre l’exemple de cette abrutie qui s’en est pris à un pompier afférer à tenter d’éteindre un feu comme le veut son professionnalisme.
Mais, est-ce vraiment nécessaire d’appuyer sur le fait qu’elle est une figure des gilets jaunes et encore faisant parti de la force d’extrême droite ayant réussi la réunion de la nouvelle union populaire ?
Et pour bien enfoncer le clou, il estime que les citoyen se doivent de dire amen à tout ce qui dit le gouvernement ou alors pester gentiment le creux du bras devant la bouche.
Ce n’est vraiment pas en utilisant ce quant à soi que les mentalités changeront.
Fini le paternalisme qui voulait le patron devant et tous derrière jusqu’à l’enterrement du premier.
Évidemment, pas un écrit sur les violences verbales du méprisant réélu ou de ses forces de l’ordre dont il a autorisé les tirs à tout va.
Tant que les gens se croyant en haut considérerons avec mépris les gens qu’ils veulent laisser en bas, ils ne pourront s’attendre qu’au retour de bâton nécessaire lorsque la bise en tempête s’y prête.
Les journalistes sont inquiets de ne pas recevoir la nouvelle liste gouvernementale car ils ont du temps d’antenne à remplir.
Sans doute, le réélu et sa première ministre prennent-ils malin plaisir à faire lanterner.
L’on n’est tout de même pas en Révolution même si le chef a dit pour la énième fois que demain ne sera pas hier.
Soit, mais pour aujourd’hui c’est sans fromage, ni dessert ? Pour parler plus sérieusement, il y a plus grave à gérer.
Non pas la guerre passée en pertes et profits d’un nouvel univers.
Ces sont les législatives qui délimiteront vraiment les bornes.