En vitrine, elle s’était fait connaître en dansant avec des bananes pour tutu.
Elle aimait la France car elle pouvait entrer dans un restaurant y s’asseoir et surtout manger comme tout le monde.
Alors, que dans son pays d’origine d’Outre Atlantique, ce simple plaisir lui était interdit car de peau métisse.
Car, contrairement à la récupération récurrente actuelle elle n’était pas simplement noire.
L’un de ses fils adoptifs, sur une chaîne de télévision a fait valoir son autre désaccord d’un grand journal qui avec quelques journalistes tournent assez mal, a fait savoir que sa mère n’a jamais été féministe.
Du moins pas comme ces trois journalistes de genre féminin qui veulent la faire rentrer dans leur communauté de femmes qui veulent la vie sans homme.
Pourquoi pas pour elles, si elles l’entendent ainsi, mais vouloir faire croire que c’est le lot de toute femme est un véritable acte antiraciste et communautarisme qui n’a plus rien à envier au idées noires et exclusives de l’extrême droite.
Ici, il ne s’agit pas de politique mais simplement de vie sociale d’une femme qui voulait l’universalisme total sans exclusion aucune.
La encore cheffe extrême droite parricide qui aime les chats et les beaux bobos jeunes mais toujours pas les migrants, s’amuse à refaire l’actualité selon son bon vouloir.
En effet, elle prend, par exemple en lien avec la Covid, avec ce que l’on sait aujourd’hui et ce que l’on ne savait pas hier.
Ainsi, il est très facile de refaire ce qu’il fallait faire puisqu’elle n’a(vait) pas à le faire.
Et voici le grand cirque lancé, le trublion de l’extrême droite lance son barnum pour faire Monsieur Loyal.
D’après ce monsieur, c’était mieux avant comme je l’ai toujours entendu de certains anciens trop vieux pour penser avenir.
Mais, désormais, il est dans l’arène.
Et comme de juste, il fait les gros bras pour dire ne pas craindre les insultes, ni les crachats.
Voyons voir.
