Deux courriels qui s’entrechoquent dans ma boîte du même nom.
L’un vantant les mérites d’un super réduction de 200€ sur des produits dont je n’ai pas besoin.
L’autre rappelant, si besoin est, un super Jackpot de 140M€ à portée de bourse.
Dualité du hasard correspondant au sort de notre vie.
Mais où se trouve l’indécence ? Tenez, le même jour, un autre je n’aurai pas vraiment prêté attention, à la radio, une pub d’un vendeur de grande consommation dit lutter contre la vie chère en versant une partie de ses bénéfices à une association qui saura bien quoi en faire.
N’était-ce pas plus simple, de directement baisser les prix de vente des produits concernés ? Mais, évidemment, le contenu de la Com aurait été différent.
Des choses en forme de trucs aberrants se révèlent à nos yeux ébahis de tant d’incompréhensions.
Tenez, ici, nous en sommes encore à nous poser la question de savoir si une personne capable majeure d’environ 80 ans, voire plus, beaucoup plus, a le droit ou non de disposer de son corps.
Généralement, on lui interdit le droit à mourir dans sa dignité.
Il faut qu’elle le fasse selon celle d’autres qui continueront à vivre par la suite.
Ailleurs, dans un pays qui va connaître des élections sensibles, c’est le droit de la femme qui est en cause.
Plusieurs habitants d’états devenus cinglés veulent revenir sur le droit d’avorter.
Que cette possibilité puisse choquer certaines personnes, soit.
Mais que celles-ci pour leur piètre croyance entendent leur refuser leur liberté, c’est ni plus ni moins de la dictature qui ne veut pas dire son nom.
Un médecin peut, au nom de sa propre conscience, refuser de faire cet acte libérateur.
Que cela soit encore autorisé me glace le dos.
Si le médecin est incapable de faire médecine qu’il fasse un autre boulot.