C’était une personne
Le mec, maire d’une ville moyenne du sud de France, a les portes ouvertes de certaines chaînes bien pensantes.
Il n’est pas vain de rappeler que ce personnage était dans le clan de l’extrême droite.
Il se dit d’en être sorti en sortant un langage châtié mâtiné de populo du style « moi, je comprends ce qui se passe dans les quartiers, on va pas me la faire ».
Tantôt, on le féliciterait presque pour son côté compréhensif presque social.
Mais, dès que les choses sérieuses démarrent, il ne peut s’empêcher de remettre en selle sa grande copine gardienne de chat, qui a cependant un sacré fauve aux dents très longues.
Et, lorsqu’on lui parle de gouvernement rassemblant tous les français, il fait ouvertement l’impasse sur le fait que c’est bien l’union de la gauche qui est arrivée première aux dernières législatives.
Ce n’est pas de la faute de cette dernière si l’encore président sans majorité s’est fourvoyé dans sa dissolution et si la droite est infoutue de se réunir pour prouver que oui, les français sont de droite.
Si l’on écoute toutes ces personnes, le fautif dans cette histoire est la gauche représentée avec son vieux circassien en mal d’un dernier tour de piste.
Mais, il ne faut pas désespérer celle-ci car elle peut revenir.
Et, même avec une tête de file que beaucoup comment à prendre comme tête de turc sachant que comme le premier actuel démissionnaire, elle a proclamé son homosexualité et qu’elle se sentait bien avec son épouse et sa fille.
Ceux qui auront osé critiquer l’ouverture des JO pour l’audace de ce qui a été présenté en Seine, en seront pour leurs frais et devront vivre à crédit s’ils veulent continuer à avoir du pouvoir d’achat.
Certain que, dès lors, l’encore Président qui ne veut pas démissionner cette possibilité de se démarquer socialement ne voulant pas le faire économiquement.