C’est pas moi, revoilà le Dalton. C’est pas moi. C’est Jack.
Fiche le camp lui a ordonné son sous-fifre prenant la place du Calife.
Pour mieux faire comprendre.
Qu’en tant qu’éléphant dinosaurien, il n’était pas comme un de ces trois petits cochons peureux du grand méchant loup dans sa masure faite de paille et mâchefer.
Lorsqu’il était, il a vu la vie en rose mais n’a pas eu le temps d’inviter celle qui le chantait aussi bien.
Même si d’entre les morts, il a pu en ressusciter quelques-uns pour éclairer sa gloire bien pâle.
Non, rien de rien, il ne regrette rien.
Sauf peut-être, mais il en a plein les riens de ce petit gougeât.
Sur lui, il aurait pu en dire plus.
Mais, il ne faut jamais insulter l’avenir.
Plus proche es-tu des puissants, plus fort tu sens leur haleine fétide de sang et chaire séchés.
Mais, les cinq années passées à ne rien faire lui ont montré que l’oisiveté n’était pas bonne pour la santé.
Du moins pour les gens bien comme lui.
Alors il s’ébroue de librairie en librairie qui n’ont que du papier à vendre, parfois des écrits.
Espérons, une fois encore, que la montagne ne va pas accoucher d’une souris : l’éléphant se risquerait à en avoir peur.
La Rousseau n’a même pas peur.
Elle a osé dire que Roussel était le cadet de ses soucis.
Tout cela parce qu’une obscure étude, faite sur 1 300 personnes d’un autre pays, prouverait que les hommes mangent plus de viande que les hommes.
L’homme lui aurait dit qu’il n’entendait pas être étiqueté pour ce qu’il aurait dans son slip ou non.
Ben, oui, s’il en est un, il y a au moins une saucisse dont on se fiche la région de naissance et où elle croie.
Mais la diseuse de mauvaise aventure persifle en disant que les hommes ayant pris le monopole sur les barbecues devraient cesser.
Elle ignore peut-être que lors du dernier concours mondial, qui a eu lieu en France, l’arrivée en deuxième place est belle et bien une femme.
Et, si elle en veut plus la mienne aussi s’occupe avec prestance du barbac…