Alerte assureurs
Besoin d’une assurance automobile ? Et c’est le parcours du combattant.
Difficile, voire inutile de tenter de joindre par téléphone un assureur sur si vous osez le faire un lundi matin ou de retour d’un autre jour férié.
Et, passons sur le courrier, il semble qu’il soit mis au rebut.
Alors, pourquoi ne pas utiliser les fameux comparateurs qui essaiment un peu partout sur la toile ; même certains courtiers s’y essaient.
Mais, pourquoi donc, une telle différence tarifaire pour une même demande d’assurance avec les mêmes garanties, franchises et touti quanti ? D’accord, le technicien dira que cela dépend des résultats techniques obtenus par le passé, de la politique tarifaire, de la volonté du service marketing.
Mais tout de même, la différence est parfois vraiment inexplicable.
Et, ça fait une sorte de froid dans le dos en se disant que si l’on prend le mieux disant, le gouffre d’une erreur monumentale risque bien de s’ouvrir à a soi, sans que l’on sache vraiment quant.
C’est sans doute cela, la notion d’aléa pour le prétendant à l’assurance.
Alors, pour diminuer les risques, l’on se portera sur une société ayant bonne réputation et pignon sur rue comme on le ferait pour un vulgaire marchand d’autres produits.
Et, même si l’on sait que la tenue d’un dossier sinistre dépend trop de l’attitude de son gestionnaire, l’on peut être tenté par l’approche d’un mutuelle d’assurance (ou presque) ou une autre société plus classique selon ses choix capitalistiques.
Rendez-vous donc, sans le prendre car en général les bureaux sont ouverts selon des horaires de bureaux et pour les sites internet pas de souci d’ouverture/fermeture.
Mais, peut-être de réponses précises à des questions existencielles.
Normalement, pour la responsabilité civile, aucun doute, puisque selon la loi, l’assureur intervient.
Mais ce doute intervient lorsque le défaut prime sur la notion d’assurance.
Ce serait le cas, par exemple, de la notion de conducteur(s) déclaré(s) ou non qui ferait la différence.
Certains contrats prévoient des franchises mais d’autres l’exclusion pure et simple de garanties.
Bien sûr, le tiers sera remboursé de ses dommages s’il n’est pas responsable.
Mais l’assureur payeur pourrait se réserver le droit de se retourner contre le responsable non préalablement déclaré.
Or, souvent, bien souvent, trop souvent, lors de la souscription, si l’on vous fait miroiter la réduction de cotisation ou prime, l’impasse se fait sur les conséquences de cette option qui entraînerait pour l’auteur de trop grands risques financiers (sinon à quoi sert l’assurance?) voire aussi des amendes salées et pourquoi pas de la prison pour le contrevenant… Ami assureur, et si vous nous disiez tout ???