C’était de talent cru, un musicien qui s’est fait trompé par une jeunette rêveuse d’un aventure de conquête.
Ses parents ont cru follement en ses délires prenant ses sens.
Le trompettiste a été jeté aux gémonies.
Le trop fameux #Metoo était passé par là, suivi par la meute de gens biens dans leur genre.
Le musicien en est devenu aphone, incapable même, dans un premier temps, de prendre le tempo de sa défense.
Sans preuve, seuls les délires de jeunesse ont permis à un petit juge de juger coupable l’homme.
Car, il faut se rendre à la raison, est forcément coupable.
Mais, dans une reprise, l’artiste s’en est allé chercher les preuves de son innocence, style « j’étais avec l’orchestre, lors du méfait reproché ».
Alors, la petite s’est débattue dans son déni, d’autant plus qu’elle avait pour elle les biens pensants que l’innocence n’est pas présumée.
Mais, la justice a fait sienne cette maxime « les faits rien que les faits » et l’étalage de ceux-ci ont autorisé l’homme à marcher droit la tête haute.
Mais, certains journalistes, de gauche ce qui aggrave leur cas, n’en démordent pas.
C’est bien connu, il n’y a jamais de fumée sans feu.
Et, le silence de #Metto est assourdissant dans ce concerto de mépris auquel la tyrannique d’extrême gauche n’a fait aucune fausse note.
L’on peut parier que si elle était de nouveau interrogé, celle-ci invoquerait le trop fameux dommage collatéral.
Et, qu’après tout, il payait pour les autres.
Bien sûr, il faut combattre à tout prix les méfaits lorsqu’ils sont avérés vrais.
Il faut suivre de près les victimes.
Mais, de grâce, épargnez les innocents.
Évitez de mettre dans l’impasse des jeunes encore instables à leur âge.
Certes, c’est odieux, il existe des hommes au comportement impardonnable, mais il existe aussi des femmes dans cette situation.
Surtout, il existe nombre d’humains qui tentent tous les jours de se comporter bien.