A la charge
Ainsi les écolos fous, soucieux seulement de leur petite personnes, auront-ils eu gain de cause en la capitale parisienne.
Il fera bon désormais rouler sur le périphérique à 50km/h.
A quel plaisir auront ces travailleurs d’aller de part en part de la Capitale des gaules, admirer le potentiel parisien dont ils ne pourront rien acquérir.
Bien sûr, et c’est souvent, lors des embouteillages matin et soir, et ils sont très nombreux, ne permettaient pas d’aller beaucoup plus vite.
Mais, toute de même 50 à l’heure sur ces lignes droites avec quelques très grandes courbes, il risque d’y avoir lâcher de regard et…patatras.
Alors peut-être que demain, seuls les vélos pourront s’y rendre ?? Ah qu’il est beau d’entendre l’ex ministre des finances dire qu’il n’y ait pour rien dans le déficit abyssal des comptes publics.
Il est comme ces patrons qui affirment que s’ils ne font pas assez de bénéfices c’est parce que les salariés veulent être trop payés, les clients trop pointilleux sur les prix, les autorités trop pinailleuses sur le contrôle des textes qui sortent comme à Gravelotte à cause de politiques à la Chambre trop empressés de se faire mousser.
Moi, monsieur, je n’y suis pour rien, ce sont les autres les responsables.
D’ailleurs, si je n’avais pas été là, le pire ne serait pas à venir puisque déjà là.
Et, le pire dans tout cela pour celui qui aspire à être premier ministre avant d’être vieux, ou même Président, est que les français n’y ont rien compris puisqu’au lieu de dépenser dans des futilités très chères qui n’apportent rien, ils ont le toupet d’épargner.
Alors, adieu les belles rentrées en imposition en tout genres.
Ce qu’il craint en fait, c’est que plus personne ne veut de lui tellement il s’est fourvoyé pour se faire accepter et s’est toujours planté à hauteur de ses ambitions.
Pour consolation, il pourra toujours rigoler du sort de sa consœur ex de la culture qui rique bien de porter la bonne parole incompréhensible de l’Élysée, hi hi hi.
