Mais, pas ceux, comme c’est bizarre, qui touchent suffisamment pour être considérés comme riches par ceux qui restent au plancher.
Ainsi, par exemple d’un hasard pas vraiment aléatoire, prenons un patron qui veut passer pour gentil et se dit que cette prime est une aubaine.
Je paie pas du tout au services sociaux, et mes collaborateurs s’en sortent avec un complément salarial qu’ils n’auraient jamais eu avec des petites augmentations lancées à la sauvette.
Ce, d’autant plus que pour ceux-ci ils ne paieront pas d’impôts.
Évidemment, celui qui manquerait de pot tomberait malade, verrait ses indemnités ne plus correspondre à ce qu’il aurait touché précédemment.
Il en est de même pour les allocations chômage.
De toute façon, il vaut mieux travailler que de ne rien faire.
Mais plus fort, et surprenant à l’heure venue, les patron et salarié n’ayant pas cotisé, la retraite ne sera pas décomptée sur ces sommes pourtant reçues dans le cadre du turbin.
Mais, comme c’est pour plus tard… Et le cirque libéral continue en vrai pied de nez à l’attente sociale, immédiate, courte, moyen et long terme des salariés.
Ainsi, deux géants de super profits préfèrent appliquer des ristournes qui ne s’appliqueront pas à tout le monde.
En vrais libéraux économiques saigneurs, ils font tout pour éviter des impôts qui eux risqueraient de devenir pérennes.
Mais, en plus, ils auraient l’audace de profiter à tous et non pas à leurs seuls clients.
Une fois passée la crise médiatique, ces supers profiteurs (re)passeront sous les radars du visible et pourront continuer d’engranger des bénéfices au plus grand profit de leur état major et actionnaires.
Bien entendu, il y a aussi de petits actionnaires.
Aussi, serait-il intéressant de comparer ce que touche un petit par rapport à un gros sans parler de la direction générale.
Le petit justifie le gros.
C’est le si cher ruissellement tant vanté par l’auto-proclamé 1er de cordée.