Et si les élections avaient du bon, pouvaient servir à quelque chose ? Aussitôt élus, les représentants de l’extrême droite n’ont eu de cesse que de se présenter comme fréquentables.
Bien sûr, il ne faut pas oublier le couac de leur ancien lors du discours de l’investiture qui rappelle bien ce que sont vraiment ces gens.
Mais, après quelques cris de jeunes garnements, mêmes les de gauche s’y mettent à être propre sur eux.
Comme si, être élu, c’est atteindre une certaine hiérarchie bourgeoise.
Il n’y a plus guère que leur ancien chef de guerre qui continue comme avant toujours en retard sur son temps.
Et voilà qui celle qui envoyait les casseroles à la tête de même ses amis, met de l’eau dans son vin.
Elle dit qu’elle souhaite que son ancien revienne et fasse rédemption auprès des battues pour être pardonné.
Elle ne guillotine plus, la bastille est dépassée.
Et celui du Nord qui se veut l’oracle du peuple délaissé par la gauche tient des propos que n’auraient pas à rougir un premier de classe.
Tout ce beau monde aurait-il ma prochaine pestilentielle en tête ?? L’ancien chef des profs avait opéré une soustraction de matière rendant facultatif l’art mathématicien.
Mais, le constat est que le compte n’est pas bon.
Les maths sont indispensables, par exemple, pour l’informatique, dont on pensait qu’elle ne fonctionnait qu’avec le 0 et le 1, voire la confection des jeux si chers aux ados visés qui resteront de grands enfants une fois adulte.
Alors, ils devront plancher sur les ardoises au moins 1 heure par semaine.
De quoi se satisfaire pour un bon calcul mental.
Pour obtenir le prix Nobel des maths, il leur faudra prendre la matière plus sérieuse à l’université.
Alerte, le gouvernement passe à gauche en réclamant aux profiteurs de la pandémie d’accepter de renvoyer l’ascenseur financier à des laboratoires plein à craquer.
Ne désespérez pas : les patrons du Cac 40, plus volatils, ne seront pas visés.