Vous êtes propriétaire d’un petit bien immobilier même si vous en avez hérité.
Vous comptez bien pouvoir en profiter pour calmer vote besoin futur de pension lors que vous serez en retraite.
Mais patatras, le beau carrosse se transforme en vieille citrouille pourrie par la seule volonté d’hommes de pouvoir qui vous ordonnent de mettre à niveau ce genre d’habitat.
Et, bien entendu, en réduisant drastiquement les aides pour le climat correspondantes.
Et, c’est ainsi qu’un marché est en train de voir le jour.
Ceux qui le peuvent et osent le faire, cherchent à acquérir à vil prix ce type de bien.
Ainsi, ils espèrent bien faire la meilleure culbute possible après transformations minimes exigées.
C’est cela la politique suivie par l’illuminé réélu et suivi par la petite bande voulant bien en profiter.
Il est vrai que si la gauche n’arrive pas à se réunir le Bérézina risque se poursuivre pendant longtemps encore.
Ainsi, sans doute pour faire capoter le projet, un de l’ancien parti socialiste déstabilisé voudrait pour faire l’union qu’il soit considéré comme avant.
Comme il était le patron auparavant, laminant ses amis avec plaisir.
Mais, avec ses 1,75 % il entend que l’on fasse comme si il était en position dominante ; quel macho ce parti.
Et les contradicteurs de dire qu’ils s’en vont comme leur a soufflé gentiment leur désormais ancien chef.
Puisqu’ils sont frondeurs jusqu’au bout des ongles, les statuts du parti sont clairs : exclusion immédiate.
Et que vive la démocratie… attendons la fins de ces prochaines élections pour rire un bon coup.
De toute façon, rendez-vous ils se sont donnés, peut-être sous la bannière d’un petit nouveau à venir.
A que de tourments à gauche.
Certains affirment que le 11 avril – jour de mon anniversaire que vous auriez pu me fête, mais c’est trop tard désormais – de cette année les éléphants ont vu rose.
Perso, en regardant les chiffres, j’ai plutôt le sentiment que c’est du rouge qu’ils ont vu passer devant eux.