Poisson d’avril
Les gens sont dans la rue entraînés qui par des casseurs songeant à piller les biens d’autrui, qui par des personnes seulement animées par une rage de ne pas être plus haut dans une hiérarchie qu’ils ne contestent que parce qu’ils en sont exclus ou alors pour rester au plus bas, qui pour conserver son pouvoir pour tenir son business hors contrôle légal, ou tout simplement, par toutes personnes ayant ras le bol de vivre au jour le jour d’hier.
La France avait connu les gilets jaunes, il fait chaud, très chaud, trop chaud, ceux-ci sont retirés pour mieux exprimer la rage détenu au ventre seule fortune de ceux que l’on fait aller au turbin pour grassement enrichir une élite qui s’en fiche du moment que leur cassette se remplie, se remplie.
Et, le gouvernement dépassé par un mouvement prévisible tant ses mesures n’ont qu’un seul but inavoué : enfermer le peuple dans un système violent pour les empêcher sereinement d’en sortir. Mais pour mâter ce qu’ils appellent un rébellion ; les politiques au pouvoir envoient les troupes chargées de calmer les ardeurs.
Le paradoxe est que ces dernières auraient très bien pu se retrouver en face, dans l’autre camp. Autant se flageller devant sa glace s’ils osent se regarder chaque matin.
On ne frappe plus les gamins, c’est une bonne chose, on n’hésite plus à mutiler leurs parents, ce qui est une nettement moins bonne chose.
Mais, le peuple questionne. Quelques questions pourraient bien attirer l’attention si les regards des médias n’étaient pas seulement focalisés par les dégradations plus évidentes que le reste.
A la louche, prenons-en quelques unes. Pourquoi ne pas augmenter les salaires de ces personnes de première ligne que l’on avait tellement mises en avant lors de la Covid19 ?
Pourquoi ne pas prévoir un départ à la retraite juste ? Pourquoi est-il relativement aisé de trouver quelques milliards d’une fortune de dingue pour seulement préparer la guerre ? Pourquoi ? Pourquoi ?