Un patron est un patron et reste un patron.
C’est-à-dire qu’il tient à faire savoir que c’est lui commande.
Et, s’il est seul actionnaire, ou très majoritaire, il considère les salariés comme ses joujoux.
Il en fait donc ce qu’il veut.
Et quand il est super riche (x30 000), il se permet comme l’actuel acheteur d’un réseau social bien connu, de virer la moitié du personnel.
Et sachez qu’il n’y a aucune causalité entre son désir libertarien et celui du réseau qui a eu le courage de couper la langue bien pendue d’un ancien président populiste qui a laisser des traces sales lors de son exercice pestilentiel.
Mais, est-ce que cela autorisera les nombreux politiques, journalistes et autres célébrités de s’écarter de ce réseau qui risque vite d’être nauséabond ? Dans une émission à grande écoute du soir, entendu des personnes, payées pour être des habitués des plateaux, défendre bec et ongles la sortie de ce représentant du peuple qui s’est fait temporairement exclure de son fauteuil.
Ces personnes disent qu’il fallait entendre la phrase au pluriel et non au singulier.
Ce qui changerait tout puisque l’orateur n’aurait pas été mis en question.
Sans vouloir faire remarquer que même au singulier c’était l’embarcation qui aurait pu être visée pour un retour.
Pluriel ou singulier, c’est le refus cinglant de ne pas porter secours à des êtres en peine de vivre dans leur propre pays.
Et, en attendant, quelques migrants attendent d’avoir pieds fermes pour ne plus ressentir le mal de cœur.
Quoique que s’il arrive sur nos terres, le ramassage des poubelles ne soit pas forcément plus ragoûtant.
Il est vrai que le sort des migrants est un vrai problème d’autant plus que l’on est incapable de s’en occuper dignement.
Mais, s’ils aiment tant la France, c’est un exemple, c’est souvent dans l’espoir qu’un patron les embauche même au noir..