Contrairement à ce que le réélu prétend, accompagné dans cette entente par sa garde plus ou moins rapproché, l’homme est à nouveau en son poste non pas pour son programme, mais bien pour faire barrage à l’extrême droite que d’aucuns s’ingénient à vouloir nous les faire passer pour de doux passereaux.
Ils ressembleraient plutôt à des coucous, mais la comparaison est insultante pour ces oiseaux qui ne s’occupent pas de nous.
Oui, je le dis le gouvernement actuel joue les grands destructeurs de notre social.
Il avait déjà commencé en supprimant de ci, delà, quelques euros d’allocations diverses comme-ci ceux-ci pesaient trop dans la bourse des bénéficiaires.
Mais, pour sauvegarder le patrimoine des riches industriels, le quoiqu’il en coûte a été de mise sans rien leur demander en retour.
Ce gouvernement a lessivé la machine des prestations chômage au point que l’organisme s’enrichit à vue d’œil à ne savoir quoi en faire.
Mais, ce n’est pas grave, la courbe montante va s’accentuer avec les nouvelles restrictions à venir.
L’on aurait pu penser que cet organisme aller accentuer le reversement aux caisses de retraite.
Que nenni mon ennemi et personne ne dit où iront les fonds ; en 2023 plus de 45 milliards pour atteindre 47 en 2024.
Et certainement plus au-delà puisque le plein emploi serait atteint.
Or, ces fonds appartiennent en grande partie aux salariés grâce à leurs cotisations sociales rondement payées rubis sur l’ongle.
L’on aurait pu penser que cesse le Cice, cette machine à milliards versés à certaines entreprises sans retour à hauteur de espérances de la nation.
L’excellent chef de nos économies dit qu’il suffirait de relever d’1 % les cotisations sociales retraite, soit quelques 7,5 milliards.
Ce qui semble exacte puisque le déficit qu’il croit devoir attendre ne serait que de 12,5 milliards à horizon 2025.
Enfin, bref ajoutons tous ces milliards pour constater que même le grandiose déficit qu’il a provoqué, 3 000 milliards tout de même actuellement, pourrait s’éponger grâce à ce ruissellement.
