La mise en bière est en deuil.
Dans la capitale de ce jus, la fermeture annoncée signifie la petite mort de cette manière de faire en pleine ville.
Pourtant, cette possibilité autorise moins de trajets à faire pour les travailleurs.
Le patron, sans doute plus financier que brasseur, en a décidé autrement.
Il se fout de mettre à mort toute une ville, voire une région.
L’essentiel est qu’il doit continuer à brasser ses affaires ; et, ça, ce n’est pas de la petite bière.
Les radins d’hier, raseurs d’antan, deviennent le bonheur des défenseurs du climat.
Une des priorités à avoir pour sauver la planète serait d’éviter de laver trop souvent les vêtements.
Cela vient après l’idée de faire pipi dans sa douche, mais rien n’interdit de faire l’ensemble en même temps.
Toutefois, la bonne vieille recette de laver ses vêtements à l’envers reste d’actualité si l’on veut conserver de belles couleurs plus longtemps.
Ces annonceurs n’ont rien compris à l’avancée des lessives qui désormais travaillent mieux et en profondeur.
Le bal des hypocrites continue.
Une ancienne ministre habituée des chaînes communicantes aime nettement moins bien la corrida.
Peut importe ce que l’on en pense, de la corrida et non de la ministre d’ancienne culture, il y a des arguments qu’il vaudrait mieux conserver dans son sac à malices.
Ainsi, cette dame, somme toute vénérable, écarte l’esprit tradition sous prétexte qu’en pays étranger, certains considèrent comme tel le port de la burqa.
Et, en conséquence, le considère obligatoire… Alors qu’il se dessine, au parlement, une grosse majorité pour qu’une partie des supers profits réalisés par les grosses entreprises soit redistribuée, le gouvernement, en l’expression non distinguée de son chef des économies publiques, repousse la mesure à une discussion ultérieure.
Faut-il sans cesse rappeler qu’il n’a pas eu ces pudeurs de jeunes adolescents ou vieux en retour pour détaxer les plus richement fortunés.