Que la honte soit, pèse, sur cette droite à vomir.
Dire que la France ne devait pas prendre en charge les 200 migrants dont seuls 80 resteront sur le sol national, est comparable à ce qu’à dit le représentant de la droite dure, expulsé de sa chambre, « qu’il(s) retourne(nt) en Afrique ».
Que l’extrême droite italienne au pouvoir a tourné le dos à ces gens en perdition, ne pouvait être un prétexte au refus mis en avant et suivi par la droite entière.
Que l’Italie se sente outragée pour son non respect des lois maritimes et non assistance aux personnes en danger, que le trublion fou de la droite de l’extrême droite avance sa théorie du grand remplacement ou fort appel d’air pour 80 personnes ne peut que laisser pantois ceux qui ne sont pas indifférents.
Franchement, existe-t-il vraiment des réfractaires gaulois pour désirer encore voter pour cette engeance brunâtre ? Non, car alors, ce serait le ciel qui leur tomberait sur la tête.
Comment faire pour ne pas être intoxiqué par des parlementaires, donc élus régulièrement par un certain peuple, disant n’importe quoi ? Dernier exemple en date, celui qui se veut guerrier de la vérité.
Et, ce n’est pas parce qu’il est très proche de l’extrême droite qu’il ment comme le faisait antan les arracheurs de dents.
Il plaide que les soignants non vaccinés soient réintégrés comme ils le seraient en Outre Atlantique.
Or, le pauvre homme se mélange les pinceaux de n’avoir pas tout lu la décision.
Elle ne concerne que le personnel « technicien de surface » et non les soignants, et encore les seuls qui ont porté en justice leur licenciement.
De plus la ville employeur concernée a porté recours et, donc, il faudra attendre encore un peu avant de dire n’importe quoi.
Merci M.
Le député qui avait osé se présenter à la présidence de France…