Il fallait le faire
Si vous prenez l’habitude de lire ces quelques lignes jalonnant mes chroniques, vous savez ce que je pense du très métier de journaliste jeté en pâture sur les nombreux médias.
Malgré l’habitude prise de (res)sortir les mêmes reportages au cours des longues heures faisant chaque jour, voire nuit, ou passant en direct des séquences déjà éprouvées, le plus dur est de tenir sa parole.
Tenez, dernièrement cette belle sortie « aujourd’hui il y a en plus plus de belles choses ».
L’intérêt d’une telle phrase est de pouvoir de plus la ressortir plus souvent et plus tard.
Remarquez, ce n’est vraiment rien lorsque l’on voit les messages qui défilent en bas de l’écran.
A croire que les fote contrastées sont faites pour se faire remarquer ; encore un coup du marketing.
Le démissionnaire chef encore de l’intérieur non parti vers d’autres affaires, se fait fort de savoir que grâce à sa belle présence, la délinquance a fortement baissé en Île de France.
Il est vrai qu’il est bien plus facile de disposer de gens armés derrière chaque citoyen que de les éduquer convenablement en les traitant comme des gens de première zone.
Nous sommes aux belles heures de la guerre froide si l’on fait exception des mouvements guerriers en Ukraine.
La preuve, dans cet échange démentiel de prisonniers, du côté des mauvais, la récupération était sur des gangsters, de l’autre les gentils prisonniers ont été libérés.
C’est en cela que l’on s’aperçoit du changement d’époque puisqu’avant l’échange concernait uniquement espions vs espions et aussi le nombre échangé était égal alors qu’aujourd’hui il est quasiment de 1 pou 2.
1 à 0 pour l’Occident si l’on veut bien regarder du bon côté.
Le président encore en place et non démissionnaire veut prendre du bon air.
Il en profite pour donner l’accolade au triplé médaillé d’or de judo.
C’est la première fois qu’il ne peut regarder une personne de haut.
Chapeau Teddy !!!