Faux semblants
Il a eu Notre-Dame en cinq ans en sabordant les délais et procédures valables seulement pour le simple quidam privé.
Le 1er âgé ministre, en recherche de gouvernement qu’il a du mal à construire en peu de temps, parie sur la reconstruction des bâtiments et infrastructures en deux ans.
Vivement une autre calamité pour faire monter la performance France en puissance.
Évidemment, ce dernier challenge n’a rien à voir avec une certaine échéance qui lui permettra de ne plus exercer.
Une minute de silence a été exigée dans la journée de deuil en recueillement des événements trop naturels surgis à Mayotte, département N°100 de la France entière.
Tout le monde s’est fait un devoir du respect.
Tout le monde sauf un, celui qui est chargé de l’ordre dans la nation.
Ça fait désordre.
Mais, c’est un fait, l’encore chef de l’intérieur démissionnaire a voulu se faire voir.
Il a donc parlé longuement au moment où les autres se taisaient.
Puis, dans la cour protégée de son ministère à fait sonner somptueusement les clairons, taper les tambours pour débuter Sa minute de silence et la fermer.
Qu’il se taise, l’on s’en portera que mieux.
Qu’est-ce qu bloque dans ce gouvernement ? Tout d’abord, l’insouciance, l’inconsistance, la légèreté d’un encore Président sans aucune majorité même minoritaire d’avoir fait acte de dissolution diabolique.
Ensuite, le refus de ce dernier d’en accepter les conséquences.
Au lieu de nommer 1er ministre du camp arrivé le premier des suffrages exprimés, il persiste, comme un enfant gâté, à nommer des gens de sa caste.
Comme un enfant qui n’a pas appris, croyant tout savoir, il a droitisé ses actes en mettant en avant le parti d’extrême droite dont la cheffe est incapable de tenir ses engagements face à une turbulence judiciaire concernant ses actes hasardeux d’hier.
Mais, il faut que justice se fasse.
Le nouveau gouvernement se fera.
Le peuple continuera de payer pour les hommes et femmes de pouvoir et d’argent.
