Une chroniqueuse d’un hebdomadaire connu à voulu croquer ces jeunes fous folâtrant illégalement dans les champs.
Elle ose annoncer que jamais être hors les lois ne permet d’avancer.
Pourtant, pour ne prendre que deux exemples bien français, il semble que notre histoire prouve le contraire.
Que se serait-il passé si des sans-culotte n’avaient pris le fusil d’assaut ? Déjà la bourgeoise en mangeant ses croissants disaient que ce n’était pas vraiment bien.
Et, elle souriait l’hypocrite – je sais, j’y étais.
Si un grand garçon un peu têtu et surtout fou, n’avait pas déclaré qu’il se foutait de son gouvernement.
Est-ce que les français auraient pu porter des espadrilles ? Ce serait bien que cette dame tourne plusieurs fois les touches de son clavier avant de déclencher l’ire des mal-pensants.
En fait, ces jeunes veulent réveiller notre (in)conscience de leur mal-être grandissant devant la catastrophe que nous grands adultes sommes incapables de stopper après l’avoir provoquée.
Mais, il est dommage qu’ils soient suivis par des politiques en mal d’eux-mêmes voulant jouer aux plus radicaux que toi j’suis vivant.
C’est le désolant spectacle de voir taguer un véhicule d’un leader écolo.
Spectacle qui réjouit celle qui a perdu ses élections internes.
C’est sans doute pour cela qu’elle veut bannir la démocratie et imposer son seul point de vue qui est forcément le bon puisqu’elle le dit.
Le scoop du moi encore en cours est le succès du nouveau président de l’ancien front qui porte encore le mot national.
Mais, ce n’est pas un événement d’un score digne des pays populistes totalitaire.
Mais, ce président restera sous la tutelle de sa encore cheffe qui, a priori, désire encore se (re)présenter aux prochaines élections présidentielles.
Et ce sans crainte d’effet sur la masse des électeurs, des propos nauséabonds que ses sbires tiennent à chaque fois qu’ils pensent que l’occasion fait le larron.