Surpris, vraiment étonné de voir un manager d’une équipe française sponsorisée par des sociétés françaises employer des anglicismes à la suite d’un étape du tour de France féminin.
Il a sortie « était dans le game » sans doute genre de dire bouseux « était dans le jeu » et « après le jump » qui devrait dire « après le saut ».
Bon, d’accord, en ayant employé « manager » je ne fait pas mieux.
Sauf que mon dictionnaire français accepte mon terme et non pas, encore, les autres.
Et surtout, je ne suis pas payé pour faire la communication française de cette équipe française.
Qui, il est vrai, ne comporte pas que des cyclistes françaises.
Entendu encore une énormité venant, on n’est pas vraiment surpris, de l’extrême droite qui n’en finit pas de réécrire son histoire française personnelle.
En cela, elle ressemble en tout point à son adversaire du même bord qu’elle disait encore plus à droite qu’elle, puisqu’elle n’était pas.
Et, pour bien enfoncer son clou vicié, elle nous informe que si les historiens pensent autrement c’est qu’ils sont tous de gauche.
Demandez donc à ceux qui se réclament de la droite et si possible d’extrême droite.
Remarquez, ils disent aussi qu’ils ne sont pas d’extrême droite et que ce sont leurs adversaires qui les ont classé ainsi.
Ce qui ne les empêchent pas de classer à l’extrême gauche la gauche appelée par d’autre de radicale.
Il est vrai aussi, que plusieurs ministres actuels d’un gouvernement entre deux, ne se gênent pas pour tenter de faire revenir le vieux Maréchal au devant d’une scène propre sur soi.
Il nous est demandé de réduire notre consommation énergétique, non pas pour sauver la planète et nous qui sommes dessus, mais pour continuer à guerroyer à l’Est et plus si affinités.
Il est bien plus facile de dépenser sans compter pour des armes à feux que pour permettre de manger plus sereinement…