« La France n’est pas la chienlit », a osé dire le chef de l’intérieur qui en a toujours une bonne à sortir.
Mais, très franchement, où a-t-il vu ces personnages ainsi grimés ? La très grande majorité de ceux qui constituent les convois des libertés sont des braves gens mêmes si certains faisaient fête sur les ronds-point de leur patelin.
Ils veulent simplement aller dire leur fait à ceux qui prétendent gouverner sans tenir compte des réalités qu’il vivent vraiment au quotidien.
Mais l’homme en sa faiblesse intérieure ne peut supporter qu’il n’y ait pas allégeance totale au roi de ce royaume dont il est le garde des sots.
La retraite est d’autant plus importante que si une masse d’inconscients s’amusaient à allonger leur temps de vie comme notre doyenne de 115 ans, il y a souci réel pour son financement.
Pas à la doyenne, mais pour ceux à venir d’autant plus qu’il y a de fortes possibilités, qui n’est pas forcément une chance, qu’il y ait moins d’actifs pour financer les inactifs.
Quoique si on lit certaines études de démographes reconnu dans chaque rond-point et recoin des villes, il n’est pas sûr que cela soit le cas.
Surtout si l’on fait en sorte qu’il n’y ait plus de chômeurs de longue durée ou des plus de cinquante ans retirés à l’insu de leur plein gré du marché du travail.
Mais ce sont là des bruits de couloirs qui ne satisfont pas les patrons créateurs d’argent de dingue, plus distingué que le pognon.
Nos gouvernements ainsi qu’une certaine droite extrême a trouvé la solution de faire travailler plus les générations qui viennent.
Mais, si demain, l’individu, genré ou non, vit jusqu’à ses 120 ans révolus, va-t-on lui demander de travailler jusqu’à ses 90 ans, voire 100 ans ? Ne faut-il pas plutôt revoir de fond en comble ce qui pourrait bien nous tomber sur la tête pour s’en tirer pas le haut.