Espèce de malade
La « trumponisation » est un terrible virus qui non seulement peut submerger le petit peuple mais, pire encore, atteindre les élites.
Il en est ainsi de notre guerrier sanguinaire qui veut la peau de la majesté d’Algérie. Celle-ci fait des misères à notre chef de l’intérieur qui voit grand pour tenter sévir à l’extérieur. Il pense faire comme son maître à penser, il repassera.
Comment peut-il croire un seul instant qu’une simple lettre adressée à une dynastie pouvait convaincre ce pays ensoleillé ? Ne sait-il pas que, en général mon capitaine, c’est l’expéditeur qui en prend plein son corps si les exigences contenues dans la missive est considérée comme trop arrogante ?
Et, d’ailleurs, ne prend- il pas le risque de trop secouer ce grand régime démocratique pour le plus grand danger des ressortissants français qui pensent passer une bonne retraite ?
Ils sont tout de même quelques 310 000 à vouloir y écouler leurs vieux jours dans les meilleures conditions possibles.
Et si le potentat actuel, ressemblant à ses prédécesseurs s’en prenaient à eux comme il le fait déjà à cet écrivain malade y compris de son pays natal pour avoir pris le risque d’un hébergement à vie tollé de vie à trépas ?
Car, de quoi est-il question ?
Certes le refus d’accepter le retour au bercail de ses administrés dont le comportement est pour le moins douteux en France pose problème.
Mais, pourquoi s’en prendre à ce pays et partant ses habitants ?
Si l’on prend les statistiques explicites, l’on constate certes que le plus grand nombre d’ordres à quitter le territoire (Oqtf pour les initiés) est très important et le taux de réintégration de 4 % ferait honte à quiconque passerait un examen lambda.
Mais, il est similaire au constat d’autre pays de cette région… Peut-être que ces injonctions ne sont pas toujours méritées. A vouloir continuer à se sentir Empire…
