Les constructeurs de véhicules nous leurrent avec leurs bonnes intentions.
Tout d’abord, pour faire semblant de faire croire que leurs acheteurs font une bonne affaire, ils vendent leurs plates-forme à quatre roues, bientôt sans volant, en location.
Est conservée la notion d’achat pour ne pas faire trop de frileux.
Mais, sur le moyen terme, c’est-à-dire dès la fin du premier terme, l’opération s’avère un gouffre financier.
A l’origine, l’acheteur aura pu bénéficier des aides réservées aux électriques, surtout les 100 %, avec la possibilité d’y adjoindre un vieux machin dont la reprise attise les convoitises.
Mais, lors de la reprise d’un nouveau contrat, ces aides disparaissent mais pas ce trop fameux 1er loyer qu’il faudra bien (re)constituer.
Et comme vous n’avez pas la reprise de ce véhicule, mais à coup sûr, les réparations nécessaires à la remise, sans doute aurez-vous l’obligation de faire appel à un crédit pour ce nouvel apport.
Mais pour ces rapaces, qui resteront toujours avant tout des commerçants, les joyeusetés ne sont pas finies.
Comme ces nouveaux véhicules peuvent être mis à jour à distance, pourquoi se gêner ? Style, débrider la puissance du bien si vous graissez bien la patte de votre geôlier.
Il vous proposera, comme une célèbre plate-forme encore – de location saisonnière, des options de confort sur une durée (très) limitée ; style recharge très rapide sur des bornes bien délimitées.
Et, croyez-le, ou pas, l’imagination débordante des équipes marketing rendra fou celui qui voudra bien comprendre.
Alors, peu importe si sous le poids du nombre, le prix unitaire d’un véhicule baissera pour faire masse, puisque la rallonge des options jetables sera plus longue que le bras que vous risquerez bien de perdre.
Mais, imaginez votre plaisir intense de monter à bord de votre location qui vous mènera au bon endroit comme un prince charmant en 1ère classe tous frais inclus !!
