Je serais toujours étonné par une certaine mauvaise foi qui veut prendre une chose vraie pour la seule réalité.
Tenez, cet éditeur de logiciel de traitement de l’image animée ou fixe.
Il se veut de bonne conscience en comparant objectivement plusieurs applications pour les photographes.
Évidemment, comme par hasard, c’est leur solution qui se trouve en tête de leur palmarès.
C’est d’une bonne guerre bien que barbare.
Mais, là où c’est très fort, est la comparaison tarifaire pour mieux faire croire à la compétitivité de ce premier de cordée.
Toutefois, comparaison n’est pas raison.
Et cela se justifie ici encore une fois.
Le comparatif prend les produits un par un pour dire sa critique et son avis de score.
Un des critère est le prix.
Et, en conséquence l’ennemi est le moins disant.
C’est-à-dire le plus cher comme étant « coût élevé ».
Or, si l’impétrant avait quelque peu observer sa concurrence il se serait aperçu d’une offre particulière pour les photographes étant bien plus accessible.
Et, encore, ne parlons pas de la promotion de courte durée en réduisant encore le coût.
Que voulez-vous, l’on ne peut être bon partout.
D’un groupe comme parmi tant d’autres sur un réseau social qui voudrait bien se passer de nos services, un chef se distingue.
Il invité ses abonnés à un débat autour d’un thème par lui imposé.
Il faut bien commencer.
Mais, lorsqu’il reçoit l’avis d’une, il proclame que c’est bien – c’est le minimum tout de même.
Et, il poursuit que ce n’est pas la bonne réponse.
Comme quoi, la personnalité gouvernementale qui veut qu’il n’y a que l’illuminé qui puisse avoir raison sans débattre, fait ruissellement sur de plus petits chefs.
Dans la vie démocratique, il y a des règles qui s’imposent à tous.
Certes, encore faut-il que celles-ci ne soient pas détournées par ceux qui sont en mesure de les faire appliquer.
