Si les puissants, les hommes de pouvoir veulent que leurs serviteurs salariés à la tache travaillent plus longtemps dans leur espace-temps de vie, c’est pour aller toujours plus en avant sur la voie de l’égalité.
Tenez ce brave, d’à peine 80 ans, va prendre place officiellement sur le trône du plus vaste royaume de Terre que le pas encore tsar de sa petite Russie lui envie.
Alors si lui peut le faire pourquoi pas vous ? Évidemment, on ne peut pas trop se nourrir de croustillant à son égard.
Mais, il fut un temps où, alors qu’il n’était encore qu’un homme, des articles ont été commis pour le mettre en doute malgré ses grandes qualités.
Et, afin d’en admettre la teneur, sortie des fonds de tiroirs journalistiques, personne ne prend peur de dire que ledit n’a pas pris une seule ride.
L’objectivité des journalistes n’est pas (re)connue même s’ils insistent pour dire que c’est la condition de leur métier en savoir-faire qu’ils s’efforcent de faire savoir.
Raté, c’est plutôt leur subjectivité qui est reconnaissable dès la première phrase entendue « tiens, c’est un journaliste qui parle…».
Et quand ils ont une cible en tête, ces snipers se précipitent à l’hallali.
Pourtant, ne la considérer pas comme hautain.
Elle qui l’est nuit et jour.
Ce n’est pas de sa faute si à l’autre bout de la France, elle a été prise d’un dilemme.
Ils étaient du même compagnonnage.
Mais, leur chef faisait banquet en salle comble à l’autre bout de cette France si longue à franchir en tramways.
Aussi, s’est-elle sacrifiée sur l’autel du repent de la bande aux vieux éléphants pour laisser partir son compagnon d’un instant.
Voilà, c’est comme cela, rien à (re)dire de plus.
Et, d’ailleurs rien à retirer non plus.
D’après une d’un hebdo, le pas encore tsar d’un Empire sans avenir serait un cancer pour l’Europe.
Espérons que les chercheurs ne lui administreront pas la dose pour qu’il dure encore.