Pour peu qu’une certaine école est été faite, l’on apprend assez facilement que tout cycle de vie à une fin.
Sauf si l’on est assez malin pour faire une relance comme l’a pu faire, sans y prendre garde, le genre humain.
Mais, il n’y a pas que le physique pris dans les filets de cette loi de nature.
Il y a aussi l’esprit, la connaissance.
Prenons l’exemple politique puisqu’il est de moment.
Hier, nous savions que ceux de gauche étaient globalement pour l’humain et ceux de droite pour le capital réservé au plus petit nombre.
Ce qui faisaient que les premiers étaient pour le social des individus, les autres pour l’adoration du veau d’or, dont ils expiaient les pêchés infâmes dans leurs églises purificatrices.
Mais, déjà, l’un d’Auvergne avait exigé que la gauche « n’avait pas le monopole du cœur ».
Bien que depuis, elle ait pris le pouvoir, elle aurait du se méfier.
Mais, les dernières élections présidentielles ont confirmé le changement en faisant croire que le centre pouvait représenter les deux tendances.
C’était sans compter les mutations de genre.
Ainsi, la gauche s’époumone à faire croire qu’ils sont seuls verts en s’entachant de féminisme et de pure identitaire.
Comme si les gens ainsi regroupés dans des statuts fermés sur eux-mêmes étaient vraiment dans leur quotidien intéressés par cette nouvelle gauche.
Naissante, c’est sans doute pour cela qu’elle crie à tue tête pour dire qu’elle vit sa vie.
La droite ne pouvant clairement s’exprimer au centre revendiqué, se perd dans son extrême.
Mais, même celui-ci, pour survivre s’invente un autre présent à défaut d’un passé présentable.
Il n’y a pas plus gauche que cette extrême droite qui en met une couche sur les mesures dites populaires.
Même son positionnement sur la migration fait rougir les gens de l’autre bord.
Attention au mirage…
