Les jolies vacances
Si vous avez bien, (ou aviez?), suivi mes précédentes chroniques notamment sur les livres reçus par les éditeurs pour appréciation, vous vous rappellerez sans doute du bouquin Commentaire où tout part à vaut de l’eau car un locataire donnant une mauvaise notre à son propriétaire déclenche la foudre.
Non pas dans les réseaux sociaux qui ne sont que prétexte mais entre les deux protagonistes qui auraient pi se (re)trouver en pièce(s).
Le problème était tout ces petits messages d’attention dans le logement faisant penser que le locataire serait un petit gamin pris les doigts dans la confiture.
Je pensais qu’il s’agissait alors de pure invention que seule l’imagination permet.
Pourtant, lors de ma dernière location touristique, j’ai remarqué combien la réalité pouvait coller.
Je n’ai pas compter, mais n’ai pas eu le courage de le faire ni de les lire tous.
Je n’étais pas venu pour un quelconque inventaire, alors pour me barber à comprendre les phantasmes d’une propriétaire pour moi éphémère, s’en est un peu trop.
Toujours est-il que recevoir ce type de lettrage en pleine tronche d’un réveil matin compliqué, vous comprendrez un certain agacement.
Tenez, lisez « Merci de bien trier les poubelles.
Tous les papiers, cartons et emballages doivent partir dans la poubelle jaune.
Ne pas mettre de verre dans les sacs poubelles…
» J’arrête car c’est trop long.
Il est évident que louer un bien vous appartenant peut être angoissant.
Mais l’on ne peut gagner de l’argent que sous une certaine contrainte.
Et, si vous aviez lu ma précédente chronique sur le sujet – non pas le livre mais bien cette location saisonnière – vous vous rappellerez qu’il a fallu réclamer haut et fort le chauffage alors qu’il faisait moins de 13° dans la petite maison.
Et, ce, parce que ledit était payant à compter d’octobre.
Or, ledit est bien gratuit sur septembre.
Le propriétaire, plus conciliant, s’est cru obligé de venir (re)mettre les fusibles pour que ledit fonctionne normalement.
Vive le départ !!!