Affolant, je vous le dit, c’est pour moi affolant.
Comme tous les ans, 2 trois fois dans l’année, je pars en déplacement et utilise mon ordi portable qui ne me quitte pas depuis au moins 8 ans.
Et, c’est toujours la même rengaine.
Pour se connecter via Google pour ne pas le nommer, il faut montrer patte blanche que même un boulanger ayant pétri sa pâte ne saurais pouvoir le faire.
Pas moins de 4 messages pour identifier à chaque fois un nouveau code secret pour que je m’assure me reconnaître dans ma demande de connexion.
Une fois garantie, j’en ai encore des sueurs froides, pas moins de trois messages pour m’informer d’une nouvelle peut-être connexion litigieuse.
C’est beau la sécurité.
Surtout lorsqu’elle est efficace.
Mais, je crois me souvenir qu’il n’y a pas si lointain que cela un autre, même pas mon sosie, avait pu investir ma place sans aucune intervention positive de la part de ce même Google.
L’ancien patron de la patrouille de contrôle de la Covid continue à dire qu’il n’a rien à dire de plus que ce que les députés diront du moment que c’est validé par son patron royalement réélu par des minoritaires.
Pour tenter bien se faire voir, sans doute a-t-il quelques velléités d’essai politique, il tente de se relancer sur la loi actuelle de fin de vie dont il doute qu’elle réponde à toutes les questions.
Il ne faut pas être savant médecin de l’ordre pour savoir les innombrables trous dans cette passoire.
Ma seule réponse à apporter est de laisser libre cours à la bonne volonté du futur défunt.
Avoir la main mise, seul(e) sur sa mort, n’est-ce pas le but ultime de toute vie libre ? Mais, savez-vous quoi ? Je n’ai même pas été invité à ces fumeux débats où tout le monde atteint la couleur de la fumée qui en sortira.